mardi 21 avril 2009

Maître des Cieux II Page 33

Page 33 : Dénonciation

Case 1 : L’éden. Jéhovah est face à l’arbre de la connaissance. Il regarde un des fruits ou l’on y distingue le Marquis soignant un malade dans le dispensaire de l’église du village.
Jéhovah : « Nous y voila. Tu veux donc leur apporter la connaissance en plus de la révolte. »

Case 2 : Michel, le cavalier présent à coté du Roi quand le Marquis a eu son audience est un genou a terre dans un clairière, seul. Il tient son épée devant lui, la lame vers le bas. Il prie. Une lumière céleste l’entoure.
La lumière divine : « Lucifer dispense son venin dans tous le royaume. Il guérit ses fidèles et laisse mourir les bons croyants. Le Roi doit intervenir ! »

Case 3 : Vue de la salle des audience du palais royale. Michel est debout face au Roi. Sur une estrade face à une foule de courtisant le Roi est assit sur son trône. Il est soucieux. A coté de lui légèrement en retrait le bouffon écoute les propos de Michel.
Michel : « La peste est aux portes du palais. Mes informateurs m’on signalés qu’un village avait réussi à échapper à la maladie. Nous devons envoyer la Maréchaussée pour savoir si c’est l’œuvre du Démon ou la bienveillance de Jéhovah qui a épargné ce village. »
Le Roi : « Je vous accorde une lettre de cachet pour éclaircir ce mystère. Vous avez toute autorité pour nous apporter rapidement leur remède à la peste. »

Case 3 : Vue de la porte d’entrée du dispensaire du village. Cinq hommes de la maréchaussée à cheval attendent devant. Un sixième homme à cheval a des galons sur ses épaulettes. Ils ont tous un foulard autour de la bouche.
Le galonné : « Ouvrez les portes ! Nous avons une lettre de cachet au nom de sa magnificence ! Veuillez nous le remettre sur le champ »

Case 4 : Le curé discute avec le Marquis. Le curé a un visage angoissé. Il supplie Le Marquis de rester.
Le curé : « N’y allait pas. Nous avons besoin de votre science pour sauver le village. Grâce à vous, nous n’avons perdu que les patients qui crachaient du sang à leurs arrivées. Les habitants des communes voisines ont eu vent de nos guérisons. Ils ont repris espoir. Ils viennent de plus en plus nombreux au dispensaire pour se faire soigner. Les nouveaux cas de peste sont de moins en moins fréquentant. Nous touchons au but »
Le Marquis : « Je vous entends. Mes valets vont chasser ces gêneurs. Reprenons le travail »

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