samedi 15 novembre 2008

CAMILO III planche 12

Pour coller aux dessin de JJ SACHEZ il faut moins de case par planche. Je vais donc faire une version 2 des planchesdéjà postées. Avant se travail voila la page 12 en version 1

Planche 12

Case 1 : Les deux inspecteurs avec des balafres posent un genou au sol, le troisième un peut en retrait reste debout. Les deux premiers inspecteurs regardent Camilo avec un visage plein de joie. Le troisième a une expression de dégoût. Il a sorti de sa poche un téléphone.
Le premier inspecteur : « Quel honneur d’être en votre présence, seigneur de guerre Camilo. Nous sommes à votre disposition. Ordonnez et nous obéirons »
Le troisième inspecteur qui est resté debout : « Cela n’est pas conforme aux directives. Je dois en référez immédiatement aux autorités. Le gouverneur a demandé d’être informé si un représentent de Camilo arrive sur Juan Fegol »

Case 2 : Gros plan sur Camilo de face. Il a un regard dur.
Camilo dit : « Arrêtez le. Il ne doit pas signaler ma présence.»

Case 3 : Un des inspecteurs sort son sabre du fourreau et se place derriere l’inspecteur au téléphone.
L’inspecteur au téléphone : « Ici l’inspecteur Quetza, matricule 27535… »

Case 4 : L’inspecteur avec le sabre tranche la tête du troisième qui a son téléphone à la main.
On entend un crépitement dans le téléphone : « Ici centrale, avez-vous besoin d’aide ? Qu’avez-vous à signaler ? »

Case 5 : le second inspecteur ramasse le téléphone. On remarque le premier inspecteur qui essuie son sabre avec un bout du vêtement de l’inspecteur décapité.

Case 6 : Gros plan sur l’inspecteur. Il porte le téléphone à son oreille.
L’inspecteur dit : « Ici l’inspecteur Sid matricule 11125. Tous va bien nous continuons l’inspection de la cargaison. Envoyer un véhicule de transport. Les passagers sont tous en règles et peuvent débarquer »

Case 7 : L’inspecteur avec le téléphone s’est rapproché de Camilo et des 5 généraux.
Il dit : « combien de temps avez-vous besoin avant que je signale le décès de l’inspecteur Quetza »
Camilo : « Jusqu'à l’éveille de la seconde lune. »

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